Tableau, classement, cérémonie... et maintenant ? Olympic blues ?

Les JO sont terminés. Un succès pour tout le monde sauf les grincheux de base habituels qui cherchent à faire parler d'eux. Les pôvres.

En attendant les Jeux paralympiques le 28 août, je vous ai concocté une petite compilation de Unes de la presse française et internationale, en ce lundi de lendemain de cérémonie de clôture. 109 Unes ci-dessous, par ordre à peu près alphabétique, quel que soit le pays. Beaucoup de compliments sur des Jeux qui feront date. Même les américains sont heureux mais ils se demandent comment faire mieux... ou différent en 2028.

Il faut aussi dire qu'ils ont doublé les chinois lors du dernier match des JO pour le compte des médailles. Les journaux chinois disent, eux, que'ils ont fait aussi bien que les américains en médailles d'or...

Vous avez peut-être vu passer le tableau des médailles et plein de classements alternatifs. Dans la charte olympique, il est bien dit que les athlètes concourent pour eux et qu'il ne s'agit pas d'une bataille entre nations. C'est pourquoi on parle du tableau des médailles et pas d'un classement de pays. Tout le monde l'oublie et les chagrinés inventent des classements qui les arrangent. C'est évidemment illusoire, comme tout classement. Il est en effet toujours possible d'inventer un classement qui vous arrange... Ce qui compte, en France par exemple, c'est qu'il y a eu plus de médaillé.e.s que jamais dans l'histoire moderne. Point barre (barre à 6,25m évidemment, je vous tend une perche).

Mon site favori, pour ce type de statistiques reste évidemment celui de Jean Villette qui a été mis à jour dans la journée sur les médailles de Paris 2024. Une mine.

La cérémonie a été plus sombre, limite ennuyeuse, avec une tonalité plus poétiquement triste, entre le doré, le noir et le blanc et un éteignant de flamme tout à fait intéressant, avec Léon en costume de ville et non en doudoune ou en maillot de bain. Difficile de tenir jusqu'au bout et à la prestation de Tom Cruise, très hollywoodienne. Normal.

On reparlera de la suite, et du baby blues que vous ressentez vraisemblablement. Mais pour le moment, savourez juste ces Unes.