Yalla ?
Dernier mot prononcé par Laurence Ferrari lors de son dernier JT sur TF1 hier soir. Jolie robe d'un rouge très voyant. Gros soulagement visible mais émotion quand même.
Yalla ?
Mot polysémique, surtout suivant la manière dont on le prononce. Comme "Allez" en français, souvent dit sur un ton jovial et encourageant, plein d'ondes positives comme aimait à le dire Soeur Emmanuelle, mais aussi comme "Allez" en français qui peut être dit sur un ton plus énervé ou impatient. Mot multiculturel, puisque ayant ses origines dans la langue arabe, mais adopté en hébreu et maintenant en français, grâce à cette ex-présentatrice et au journal (encore) le plus regardé à la télé. On disait avant que le journal de TF1 n'utilisait pas plus de 150 mots différents pour être compréhensible de tous (sans inclure les noms propres), maintenant c'est 151 !
Yalla ? (vu sur fff.fr)
Allez les Bleus qui ont joué une première mi-temps digne d'une grande équipe hier contre la Serbie, puis sont revenus à leur niveau habituel, gérant le résultat sans plus rien essayer. Une mi-temps c'est comme un verre d'eau à moitié rempli, c'est mieux que rien quand on est optimiste, mais c'est moins bien qu'un match entier quand on est pessimiste. Moi j'avoue être plutôt optimiste.
Yalla ?
Envolée la circulaire Guéant, comme nous le disions hier ici. Pas encore remplacée, mais réellement déchirée. Restera à traiter le cas des étudiants et ex-étudiants qui ont des problèmes en ce moment. Notons avec un faible étonnement le silence de l'UMP sur ce retrait. On sent bien ici une opération qui était uniquement de type propagande à l'époque (il y a tout juste un an) et pas dans une logique politique structurante. Le communiqué de M. Guéant sera attendu avec impatience.
Yalla ?
On est en juin. En mai on a fait ce qui nous a plu (et il a plu plus que prévu). En juin il faut donc serrer les poings, contre la grêle éventuelle (des coups à droite) mais aussi pour faire de ces législatives un moment décisif. Vous vous voyez avec un gouvernement affaibli, sans majorité forte ou avec une cohabitation où aucun ministre de droite ne serait d'accord avec l'autre ? Sur ce blog on vote François, non mais !
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